C'EST QUOI CARBONE THEORY ?

Hey there ! Je m’appelle Charlotte et je suis fondatrice de Carbone Theory, anciennement appelé The 1to100 Project. Ce projet, c’est le résultat d’une réflexion de plus de trois ans autour de mon obsession sur la réussite, la confiance et la réalisation de soi. Tout a commencé en 2015 quand désespérée par mes possibilités d’orientation en école de commerce, j’ai pris conscience que je ne savais pas du tout ce que j’aimais dans la vie. N’ayant aucune connaissance du monde du développement personnel, j’ai donc simplement pris un papier, un crayon et rédigé une liste de tout ce qui me faisait vraiment vibrer. Un tête à tête entre moi et moi sans aucune censure possible.

Après quinze minutes de brainstorming, je me suis donc retrouvée avec l’amer impression de ne pas avoir évolué depuis la sixième B, alors que Sœur Monique m’avait bien prévenue que « faire Beyoncé » n’était pas un métier. Sur ma liste des choses qui me faisaient totalement vibrer dans la vie figuraient donc : F.R.I.E.N.DS, les vidéos du Millenium Studio, David Lachapelle, les documentaires sur Céline Dion, faire des Carrot Cakes, Bree Van de Kamp, toucher ma paye du Quick, le dancehall, les clips de Lil Kim, acheter des billets d’avion, les soirées du Bimbo Club, manger des ribs sauce barbecue, les 800 pages de Autant en emporte le vent et bien sûr Beyoncé sous toutes ses formes, que ce soit en live, en clip ou en salade.

Alors que je m’étais démenée à réussir mes études de la maternelle à l’école de commerce, je dus me rendre à l’évidence. D’une part j’entretenais une relation passionnelle et un peu douteuse avec la pop-culture bien kitch des années 90.  Et d’autre part, je faisais un tel rejet de l’entreprise que la perspective de devenir danseuse à Broadway, choriste pour Dave ou serveuse dans un Waffle House de Caroline du Sud, me paraissait moins absurde que de signer un CDI à Paris.

Le problème c’est que j’avais tellement honte d’assumer publiquement mon amour pour Ja-Rule et Jenny from the Block, par peur de passer pour une écervelée, que je n’avais jamais tenté de comprendre les raisons de ma ferveur. Puis je me suis demandée pourquoi. Pourquoi autant d’admiration pour les bêtes de scène, le show et les paillettes ? Pourquoi il suffit que j’entende les trois premières notes de Crazy in Love pour passer du mode Eminem dans 8 mile au mode catwalk façon Vincent McDoom ?

Et c’est là que j’ai réalisé que rien ne me fascinait plus que l’extravagance, la démesure et l’égocentrisme des popstars. Car dans une société où se sous-estimer est une marque de politesse, où le sacrifice est divinisé et où le mérite est proportionnel à notre capacité à endurer les difficultés, ces icônes me donnaient l’impression que s’aimer et le revendiquer, sans se soucier du regard des autres, était l’acte le plus révolutionnaire qui soit.

Et c’est là que j’ai eu le déclic : la réalisation de soi relève quasi exclusivement de notre capacité à s’accepter tel que l’on est, à assumer ses envies et à ne pas s’excuser de ses ambitions. Or, à trop vouloir nous sécuriser dans des cases, nous nous sommes complètement abandonnés, horrifiés par la perspective d’être différent ou d’être jugé prétentieux pour avoir eu l’arrogance de croire en soi et en ses rêves.

Par conséquent, à travers Carbone Theory, ma mission est de vous faire passer de 1 à 100 sur l’échelle de votre vous qui donnerait tout pour n’être personne d’autre que vous ! Et ma méthode -creuset de ma formation de coach, de ma vie franco-américano-togolaise, de mon expérience d’entrepreneure, de ma passion pour la danse, de mes études de théâtre, des personnalités inspirantes rencontrées lors de mes pérégrinations et des heures passées sur Youtube à tenter de hacker le cerveau de Meryl Streep- a pour seul objectif de transformer votre état d’esprit pour vous aimer sans remords, vivre votre vie de kiff et enfin vous autoriser à faire ce que vous repoussez depuis tant d’années.