MATHILDE : « J’étais très souvent en colère et je n’arrivais pas à gérer mes émotions négatives »

1-Quel était le problème que tu souhaitais régler en rejoignant GYST ?

J’étais souvent très en colère pour des bêtises, j’avais du mal à gérer mes émotions négatives. Je me suis dit qu’il y avait forcément quelque chose qui clochait. Ça commençait à peser sur ma vie pro et perso. Et puis je me disais : « j’ai deux enfants, j’ai une belle maison, j’ai créé ma boîte et ça ne va pas. Il faut comprendre pourquoi. »

2-Que t’a apporté la formation ?

« Ça m’a réveillée. J’étais venue chercher un moyen de calmer ma colère, mais en fait, j’ai surtout compris que je n’étais pas alignée dans ma vie. Je devais changer quelque chose. Avant, je disais à mes amis que je voulais être la meilleure version de moi même. Grâce à la formation, j’ai compris que la perfection n’était pas l’objectif, qu’il fallait juste que j’apprenne à m’accepter telle que je suis. »

3-Quel a été le déclic le plus important que tu as eu pendant ces huit semaines ?

Il y a un module qui m’a particulièrement marqué et qui a été très dur à vivre. C’était celui durant lequel on devait prendre conscience de son dialogue intérieur. Ça a été difficile parce que je me suis rendue compte que j’étais une grosse bitch avec moi-même ! Autant, je suis super sympa avec tout le monde, mais avec moi c’est terrible.

Ce n’était même plus de l’exigence à ce niveau-là, c’était de la torture. J’ai beaucoup pleuré en prenant conscience de ça. Ce qui est sûr, c’est que les modules prennent du temps. Et ce que j’en ai tiré, c’est que quand on veut faire quelque chose, on peut trouver le temps, quelque soit notre rythme. Avant je me disais, je suis mère de famille, j’ai une entreprise, je n’ai pas le temps de faire de formation. Mais quand il faut, on s’organise !

4-Peux-tu nous expliquer comment se manifeste ta transformation au quotidien ?

Il y a une vraie différence dans ma capacité à communiquer avec mon entourage. Avant, je gardais tout pour moi, c’est pour ça que je m’énervais pour rien. Je n’arrivais pas à mettre des mots sur mes émotions, donc je cumulais de la frustration. Quand tu as oublié comment communiquer, il faut réapprendre. D’ailleurs, mon mari était aux anges, car, il me l’a dit après la formation, il commençait à s’inquiéter pour notre couple.

5-As-tu accompli quelque chose qui te paraissait complètement impossible avant de faire la formation ?

Grâce à un module, j’ai pu réaliser un vrai petit défi. On devait faire des trucs dont on rêve et que l’on n’a jamais osé faire. Alors, je me suis faite tatouer ! J’en rêvais depuis que j’étais toute petite, c’était le bon moment, j’en suis très contente.  

Sinon, GYST m’a vraiment permis de prendre conscience que je voulais aussi me lancer de façon indépendante, entreprendre. J’ai monté une boîte avec ma soeur, c’est vraiment super de travailler en binôme, mais je voulais aussi tenter de vivre l’expérience entrepreneuriale seule, afin de me challenger encore plus et de voir si je pouvais mener ma barque en solo.

6-Quel conseil peux-tu donner à ceux qui hésitent à rejoindre la formation ?

Ce qui est cool, c’est le ton et l’humour. Ça dédramatise vraiment l’aspect développement personnel profond. Parce qu’on ne va pas se mentir, on remue quand même un gros tas de merde ! Si j’ai un conseil à donner à des personnes qui aimeraient se lancer dans la formation c’est : « il est temps de passer à l’action, si tu t’auto-sabotes, réveille-toi, la vie est trop courte ! »