”L’idée c’est de te dire : « écoute-toi avant tout. » On ne va pas t’imposer de te lever tous les jours à 5h du matin si ça ne te correspond pas. GYST t’apprend à te comprendre, avec une personnalisation pour chaque chose et une souplesse dans les processus.
Marie-Laure, 38 ans, future entrepreneuse
1-Quel était le problème que tu souhaitais régler en rejoignant GYST ?
Déjà il faut savoir que je fais partie de la première promo et j’en suis très fière ! Je suis heureuse d’avoir fait partie du début de l’aventure et d’avoir fait la belle rencontre de Charlotte. J’ai été amenée à me lancer dans la formation GYST après un gros burn out dans mon ancien boulot que je m’étais enfin décidée à quitter. J’avais commencé un bilan de compétences, pour pouvoir anticiper le premier rendez-vous Pôle Emploi et faire le point. Je m’étais renseignée, je suis tombée sur une belle boîte de conseil spécialisée pour les femmes. C’était très bien, le problème c’était le côté très pratico-pratique avec des tests de psychologie un peu classiques. Après ce burn out, il me manquait un gros coup de fouet pour me motiver. Au-delà de savoir ce que je voulais faire, j’avais besoin de ce coup de pouce. Et puis j’avais besoin de prendre un peu soin de moi, ça faisait des années que je ne l’avais pas fait. C’est comme ça que je me suis lancée avec GYST.
2-Que t’a apporté la formation ?
Ça m’a apporté une grosse dose de vitamines, comme un cocktail riche en plein de choses géniales ! Après le travail, c’est toi qui le fais. Charlotte est là pour te donner les outils. C’est à toi de faire ce travail de digestion, cette pulsation doit venir de toi, il faut avoir envie. Par rapport à mon bilan de compétences, ça a été tout à fait complémentaire. Ça m’a vraiment aidée à faire des choix. C’était un vrai moteur pour redémarrer sur de bonnes bases.
3-Quel a été le déclic le plus important que tu as eu pendant la formation ?
Un module dans GYST m’a bien marquée. C’était l’exercice sur les masques, un des plus difficiles pour moi. Ça m’a vraiment ouvert une porte. Et puis la pratique de l’inconfort a aussi été fondamentale dans mon évolution. Parce que ça m’a permis de mettre d’autres mots que ceux que la psychanalyse utilise pour certains problèmes. Parfois c’est un peu trop littéraire, là au moins, c’est du concret. La pratique de l’inconfort a parlé à l’ours qui est en moi ! Ça m’a aidée à quitter ma zone de confort. C’est une façon de sortir de sa coquille et ça fait beaucoup de bien.
4-Peux-tu nous expliquer comment se manifeste ta transformation au quotidien ?
Ma transformation est surtout liée au jugement, au rapport à l’autre. J’avais déjà fait des progrès en faisant une psychanalyse mais là, il y a un côté concret. Tu ressens la conscience d’être jugée et de juger. La pratique du non jugement et encore une fois, la pratique de l’inconfort, sur soi, sur les autres aussi, ça a été vraiment important. Ça m’a permis d’essayer de sortir les gens des habitudes que l’on avait ensemble. Eux aussi, ça les sort de leur zone de confort vis-à-vis de toi.
5-As-tu accompli quelque chose qui te paraissait complètement impossible avant de faire la formation ?
Je me suis lancée dans une nouvelle formation professionnelle, j’ai repris des études. J’étais morte de trouille à l’idée de passer l’oral, je n’ai jamais fait ça de ma vie. M’exprimer oralement auprès de plusieurs personnes… Je suis persuadée que ça m’a beaucoup aidée à l’appréhender. Et j’ai eu mon diplôme !
6-Quel conseil peux-tu donner à ceux qui hésitent à rejoindre la formation ?
Il faut savoir que ce n’est pas comme une to do list à faire, il n’y a pas de recette miracle. On te donne des exercices et des outils. Au début, tu le fais à la façon de Charlotte, et ensuite tu le fais à ta sauce, à force de travailler dessus.
« L’idée c’est de te dire : « écoute-toi avant tout. » On ne va pas t’imposer de te lever tous les jours à 5h du matin si ça ne te correspond pas. GYST t’apprend à te comprendre, avec une personnalisation pour chaque chose et une souplesse dans les processus. »
Il y a un souvenir qui me revient. La première fois que j’ai parlé à Charlotte à coeur ouvert, j’ai pleuré. C’était lors d’un coaching perso, c’était très fort et sans jugement. En général, on ne pleure pas facilement devant les gens, on est pudique. Même devant mon psy, je n’ai jamais pleuré. Ça montre bien qu’il y a cette confiance particulière qu’elle réussit à instaurer, au point d’être vulnérable. Ce jour-là pour moi, c’était en tout cas possible d’être vulnérable devant Charlotte.
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