”GYST a clairement changé ma vie : j’ai enfin quitté la finance, je me suis lancée à 100% dans un nouveau projet dans lequel je m’éclate et je suis beaucoup plus au clair avec ce que j’aime et ce que je n’aime pas. Le programme a de magique qu’il te fait passer à l’action sans jamais te le demander. Cela faisait deux ans que j’avais une idée en tête que je n’avais jamais matérialisée. Trois jours après la fin de GYST, je lançais ma newsletter. C’est de là que mon entreprise actuelle, Mama Doesn’t Cook, est née.
Aloïs, 32 ans, coach et entrepreneuse
1-Quel était le problème que tu souhaitais régler en rejoignant GYST ?
Mon plus gros problème, c’est que je n’aimais pas mon job : j’ai bossé en finance pendant des années et je sentais bien que ça ne me plaisait pas. J’arrivais à démissionner de mes postes, mais je retournais quand même dans ce domaine sans réussir à comprendre pourquoi. À la naissance de ma fille, j’ai profité de mon congé maternité pour entreprendre et lancer ma boîte. Ce premier projet n’a pas fonctionné, j’en étais donc arrivée à la conclusion que l’entrepreneuriat n’était pas fait pour moi. Mais je sentais que quelque chose n’était pas abouti. Quand j’ai commencé la formation, ma problématique principale était donc : « je ne veux plus jamais travailler en contrôle de gestion. » Il était temps pour moi de comprendre quelles étaient mes envies et comment les assumer.
2-Que t’a apporté la formation ?
La formation m’a surtout permis d’apprendre à me connaître. Avant, je pensais qu’avoir confiance en soi, c’était ne jamais douter et que ça passait aussi d’une certaine façon par la comparaison avec les autres. Avec GYST, j’ai compris que pour avoir confiance en soi, il faut d’abord bien se connaître, être conscient de ses forces, de ses faiblesses. C’est comme ça qu’on s’accepte peu à peu et qu’on devient plus à l’aise avec qui l’on est. L’autre chose importante que m’a appris la formation, c’est que c’est ok d’être débutant. Quoi que tu fasses, à partir du moment où c’est nouveau, tu vas traverser une période durant laquelle tu vas peut-être commettre des erreurs ou te sentir nulle, mais ce n’est pas grave, c’est comme ça qu’on apprend. C’est une hérésie de croire qu’on peut réussir un projet du premier coup, même en se préparant des mois à l’avance. Il faut vivre chaque étape pour comprendre comment évoluer. C’est ce qui s’est passé avec mon premier projet, je voulais quelque chose d’immédiatement parfait, mais c’est impossible !
3-Quel a été le déclic le plus important que tu as eu pendant ces huit semaines ?
Le module de l’échelle des valeurs a été une révélation parce que j’ai enfin compris pourquoi mon métier ne me plaisait pas. J’avais pourtant essayé de travailler dans des environnements très différents : dans des grands groupes, dans des entreprises à taille humaine, puis à mon compte en tant que freelance, puis entrepreneure… Mais je ne me sentais jamais pleinement épanouie et l’échelle de valeurs m’a aidée à enfin comprendre pourquoi ! J’ai toujours bossé dans les chiffres et plus jeune, j’ai fait de la gym à haut niveau donc je pensais avoir la rigueur, l’ordre ou la performance dans mes valeurs hautes. En réalité, je me suis rendue compte qu’une de mes valeurs fondamentales, c’est l’humour. Ça a été une révélation pour mon nouveau projet. Je me suis dit : « c’est ce que tu es, utilise-le dans ton travail, tu peux être pro en mettant de l’humour. » Je me sers encore aujourd’hui très régulièrement de l’échelle des valeurs. Cela permet d’avoir des clés de compréhension sur soi-même.
Le module sur les masques m’a aussi permis de comprendre plus en profondeur certains traits de ma personnalité. Par exemple, j’ai une très bonne capacité d’adaptation donc j’utilisais beaucoup les masques. Le problème, c’est qu’à trop vouloir s’adapter, on ne sait plus qui on est. Maintenant, j’arrive beaucoup mieux à être moi-même. Et le bouquet final, ça a été la partie sur les croyances. Tout le travail des modules précédents permet de faire émerger et de conscientiser ce dont tu as besoin, ce qui te fait peur… Donc, quand tu arrives aux derniers modules de la formation sur les croyances limitantes, tu as les armes pour les dégommer !
4-Peux-tu nous expliquer comment se manifeste ta transformation au quotidien ?
Je suis beaucoup moins sensible au regard des autres. J’ai compris que « la carte n’est pas le territoire » dans le sens où, on a chacun une vision de la vie très subjective, totalement inhérente à ce qu’on a vécu, à qui l’on fréquente, à ce que nous sommes. Donc si on n’est pas d’accord avec l’autre, ce n’est pas parce qu’il est de mauvaise foi, c’est qu’il a simplement une lecture complètement différente de la tienne. L’avis des autres, c’est la vie des autres finalement. Et ça, c’est ultra libérateur quand tu t’en rends compte. Avant le programme, j’avais lancé un compte Instagram mais je le trouvais tellement nul que j’avais finalement supprimé les trois malheureux posts que j’avais publiés ! Je faisais les choses dans mon coin, en évitant de trop m’exposer et en ne m’impliquant à moitié. Comme ça, si ça ne marchait pas, j’avais une excuse. Avec GYST, j’ai eu le déclic que j’attendais et je suis passée à l’action. J’ai compris que si tu ne t’engages pas à 100% dans ce que tu fais, ça ne sert à rien.
La formation a eu aussi un impact très positif sur ma relation avec mes proches, en me faisant découvrir le pouvoir des conversations. Lorsque tu n’es pas au clair avec toi-même, tu as tendance à fuir les conversations que tu devrais avoir, sans même t’en rendre compte. A présent, je connais mieux mes ressentis, c’est beaucoup plus simple d’exprimer ce dont j’ai besoin. Avant, ce n’était pas le cas donc la communication était beaucoup plus compliquée car je voulais que mes proches comprennent ce dont j’avais envie, mais sans le leur dire et sans savoir moi-même ce que je voulais vraiment.
5-As-tu accompli quelque chose qui te paraissait complètement impossible avant de faire la formation ?
GYST a clairement changé ma vie : j’ai enfin quitté la finance, je me suis lancée à 100% dans un nouveau projet dans lequel je m’éclate et je suis beaucoup plus au clair avec ce que j’aime et ce que je n’aime pas. J’ai compris qu’il n’y a pas de destination finale, et que le process est bien plus important que la destination. Avant je me disais : « quand j’aurai une boîte qui cartonne, je serai vraiment heureuse. » Mais c’est comme chasser l’horizon, c’est un jeu sans fin. Il faut se sentir bien tout de suite, sans attendre qu’un événement externe t’apporte du bonheur. Le programme a de magique qu’il te fait passer à l’action sans jamais te le demander. Cela faisait deux ans que j’avais une idée en tête que je n’avais jamais matérialisée. Trois jours après la fin de GYST, je lançais ma newsletter. C’est de là que mon entreprise actuelle, Mama Doesn’t Cook, est née.
6-Quel conseil peux-tu donner à ceux qui hésitent à rejoindre la formation ?
Pour ceux qui hésitent, le programme est très bien construit. Il nous fait cheminer par les bonnes étapes pour finalement faire émerger nos croyances limitantes. Cette formation permet de donner des clés de compréhension sur les causes profondes de notre situation actuelle. Elle permet de réfléchir, de mieux se connaître et surtout d’agir. Aussi, j’ai particulièrement apprécié la dimension collective de GYST : il y a des calls toutes les semaines, tu découvres les problématiques de chacun et tu comprends vite que tu n’es pas seule, tout le monde se pose des questions ! La qualité de la formation est dingue. Et puis, ce n’est pas une formation de marchand de tapis, on ne te vend pas du rêve. Pour avoir des vrais résultats, il faut être prêt à se poser des questions profondes.
Pour ceux qui débutent la formation, je leur conseille d’y aller à leur rythme, de ne pas se mettre la pression. Si on veut vraiment en ressortir transformé, il vaut mieux prendre son temps et faire les choses en profondeur, plutôt que de le survoler en le faisant comme on coche une to-do list. Et surtout, garder à l’esprit que ce programme permet de gagner des années !
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